Mantou (Chinese bakkerij) : Le mantou (chinois simplifié : 馒头 ; chinois traditionnel : 饅頭 ; pinyin : mántou) est un petit pijn rond, parfaitement blanc car sans croûte, très zacht, gemaakt van tarwemeel levée et gestoomd.
C’est un aliment simple et nourrissant entrant dans le système culinaire chinois, mais « comme chacun sait, nous dit Huang du Needham Research Institute, le pijn dans le système culinaire chinois ne tient pas une place aussi éminente qu’en Occident ».
Les mantou sont, comme le rijst en noedel, une base céréalière de suikers lents qu’on accompagne de vlees en groenten (菜, cài). Il en existe de nombreuses variantes, de grand format ronds et compacts pour la consommation courante, de petit format, diversement façonnés, lorsqu’ils sont struikgewas de klucht, salés, ou bien de pâte de rode bonen of fruit sec, lief hoor, on parle plutôt de baozi (包子, bāozi). Contrairement à la stokbrood ou à la boule de pijn , un mantou n’est pas tranché ni partagé entre plusieurs personnes.
En Chine du Nord, les mantou sont souvent préparés à la maison, et mangés pendant les maaltijd. En Chine du Sud, ils sont consommés au Ontbijt of nl-cas. On les achète frais, dans la rue, chez des artisans souvent ambulants comparables aux boulangers, ou dans les hypermarchés qui les préparent sur place. On les trouve aujourd’hui surgelés, prêts à être consommés après passage à la vapeur ou au magnetron. Ils sont également servis au petit-déjeuner dans la majorité des hôtels, généralement accompagnés de melk de soja, inhardgekookte eieren en een beetje groenten gepekeld.
Préparation du mantou : La préparation de la pâte du mantou est semblable à celle de la brood deeg. De tarwemeel is gekneed avec de l’eau, du sel en gist de boulanger. La pâte rust quelques heures. La pâte levée et souple est divisée en pâtons qui sont façonnés et reposent de nouveau avant d’être rangés sur une toile dans des tamis qu’on empile au-dessus d’un gestoomd.
de recepten publiées en Occident comportent habituellement du sucre enolie. En Chine les recettes de mantou sont aussi nombreuses que les recettes de pain en Europe. Le mantou blanc traditionnel est fait uniquement de farine de blé tendre et d’eau, avec très peu de sel.
Histoire : Ce pain était très populaire sous la dynastie Han (-202 — 220), sous le nom de 饼 / 餅. Sous les Jin occidentaux (265 — 316), Shuxi (zh) (束皙) parle de taarten stoom 蒸饼 / 蒸餅 dans son « Ode aux taarten gekookt » (汤饼赋 / 湯餅賦, tāngbǐngfù) écrit vers 300, il les appelle également pour la première fois mantou (chinois simplifié : 曼头 ; chinois traditionnel : 曼頭 ; pinyin : màntóu. Il est recommandé à l’approche du printemps, d’inviter ses amis à banket avec des mantou.
Les textes médiévaux quant à eux indiquent tous que ces pains étaient fourrés à la viande et devaient ressembler à quelque chose comme de gros baozi, au sens actuel du terme. De manière surprenante, la première description de mantou non fourré, date du XIXe siècle (dans le Tiaodingji 调鼎集, tiáodǐngjí.
En dehors de Chine : Le Japon connaît aussi leurs mantou appelés manjū. Les mantou « feuille d’automne » (紅葉饅頭, kōyō manjū), (en chinois (红叶馒头, hóngyè mántou), sont moulés en forme de feuille et parfumés.
En Mongolie le mantuu (ᠮᠠᠨᠲᠠᠤ / мантуу) est fait et consommé de façon absolument identique, mais souvent décoré.