Prianik (Russische keuken) : Le prianik est un peperkoek très Populair en Rusland voor meegaan le thee, plus spécialement à la période de KerstmisMaar ook in Pologne, en Litouwen, en Wit-Rusland en Zwitserland.
Het wordt ook wel genoemd: in het Russisch Пря́ник; meervoud Пря́ники, prianiki, in het Pools ”piernik”, meervoud ”pierniki”.
En Zwitserland dans le canton d’Appenzell, hij heet Biberli (ou aussi Bärli-Biber).
Dit is een pijn de vanuit het, rogge of anderen granen verfraaid de honing, noten, gekonfijt fruit, rozijnen, fruit of bessen, jam. De gebakje is over het algemeen rechthoekig, ronde ou ovaal, bombée sur le dessus, recouverte d’un suikerglazuur ; celui-ci porte souvent une inscription faite à la main of met een moule.
Historiquement, le prianik est un symbole de feest ; zijn ingrediënten n’étaient ni bon marché, ni geconsumeerd dagelijks.
Le terme russe : Пряник, prianik vient de l’adjectif russe ancien пьпьрянъ, peperyan : « peperig », lui-même dérivé du russe ancien пьпьрь, peper, « peper » ; il signifie « taart épicé, verklaring .
Histoire : L’histoire du prianik est parallèle à celle du peperkoek en Europa. De eerste peperkoek russe, appelé медовым хлебом, « pijn de honing », apparut au IXe siècle. C’était un mengsel de roggebloem, honing et jus de bessen. De honing représentait près de la moitié des ingrediënten. Puis des kruiden en roots bosbouw y furent ajoutées. Aux XIIe et XIIIe siècles, les kruiden venues du Midden Oosten enInde commencèrent d’être importées en Rusland et opgenomen de gerecht " van luxe » ou « de feest », donnant, à cette gebakje, au XVe siècle, le smaak en vormen qu’on connaît aujourd’hui. Il existait une grande verscheidenheid de prianiks selon les verscheidenheid, autrefois appelés сухими духами, « geesten secs », qu’on y incorporait. Het meest Populair étaient le zwarte peperde venkelde smaak d 'bittere sinaasappel net zoals : citroen, munt, koriander, vanille, gember, kardemom, cannelle, groene anijs, steranijs, komijn, nootmuskaat et kruidnagel, en karamel voor couleur.
Usage culturel : Le prianik tient, depuis le XVe siècle, une place importante dans la culture russe : vie domestique, ceremonies, beurzen, feestdagen. Dus voor de ceremonies de mariage maaltijd de feest, decoratie dynamische bomen de Kerstmis, les aumônes aux pauvres. Souvent, les enfants déchiffrent leurs premières lettres à l’aide des inscriptions portées sur les prianiks. On échange des prianiks au Zondag du Pardon, dernier Zondag du Grand carême. Lors des visites à des parents ou des amis, on apporte un très gros prianik de deux à cinq livres.
Verscheidenheid locales : Aux XVIIIe et XIX siècles, de nombreuses villes développèrent la productie Industrieel de prianiks qui ont fait leur Renommée : Permanent, Arkhangelsk, Koersk (qui a donné le célèbre korenskij prianik), Kharkov, Ryazan, Kaloega, Kolomna, Tver, Viazma (où l’on fait le viazemskij prianik), Waar ben je nu, Novgorod, Dmitrov, Gorodets (ville du gorodetskij prianik).
En Siberië, On parfume la pâte met kersen droog et blanco's qui donnent au prianik une subtiel smaak d 'amandel ; The pâte a une teinte rosée par l’adjonction de frambozen en veenbessen.
De regio vanArkhangelsk apprécie des prianiks appelés en russe : козули, kozouli, où ils sont considérés comme un symbole de la Pommeren. Ces prianiks sont caractérisés par des sinaasappels gekarameliseerde au sucre bruin (At vergeoise) en een beetje slagroom.
Inscription : Il y a trois manières de confectionner un prianik : imprimé, coupé et sculpté.
L’impression est le mode de préparation le plus simple : on utilise un moule à prianik portant l’inscription désirée. Une vormen particulière de prianik coupé est la découpe dite d’accélération : à la fin du maaltijd, le maître des lieux laisse entendre qu’est venu le moment du départ en offrant ces prianiks aux invités qui s’attardent.
Enfin la sculpture au Couteau de l’inscription est la Methode la plus directe, mais la plus delicaat ; elle était très en faveur dans le nord.